Promu par le rapport de la mission numérique du Bâtiment en décembre dernier, le BIM (Building Information Modeling) n’est consacré par aucun texte national particulier et doit être encadré contractuellement.
En décembre 2014, un rapport a été remis à la ministre du Logement Sylvia Pinel dans lequel les outils du numérique sont présentés comme des leviers cruciaux pour parvenir aux objectifs du Plan de relance de la construction lancé en mai dernier, à savoir construire et rénover plus de logements de meilleur qualité et à moindre coût.
Le rapport évoque les outils du numérique dans le bâtiment et met plus particulièrement l’accent sur le BIM (Building Information Modeling), pouvant être défini comme une méthode de travail fondée sur la collaboration autour d’une maquette numérique enrichie par les différents acteurs impliqués lors des différentes étapes du projet (conception, construction, réception, démolition).
Le BIM est notamment présenté comme un outil structurant générateur d’économies dans les travaux de construction, d’entretien, de maintenance et d’exploitation améliorant la productivité et créant des emplois.
Alain Bensoussan Avocats avocat chez Alain Bensoussan-Avocats, explique pour L’Usine Digitale, les conseils pour sécuriser la maquette numérique collaborative :
- Connaitre le cadre juridique applicable ;
- Compléter par une protection contractuelle ;
- Prévoir les clauses contractuelles utiles.
Alain Bensoussan Avocats, « Bâtiment 3 conseils pour sécuriser la maquette numérique collaborative« , L’Usine Nouvelle le 5 mars 2015